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    - L'ÉPOPÉE DES PIEDS LOURDS -

    1871

    L'ÉPOPÉE DES PIEDS LOURDS

    1871

    "Nous sommes heureux de vous faire découvrir aux travers de multiples images, notre expérience, notre savoir, qui s'inscrit dans le temps. Vous partagerez avec nous le goût de l'aventure et de la mer, comme l'ont fait ses hommes d'honneur et de courage, pour un métier hors du commun, ayant parfois défié la chronique par certains de leurs exploits."

     "Tony & Betty Matrone"

    Bonne visite

    22 Novembre 1854

    Naissance d'Eugeunio Napoléone Clemente, Matrone à Ventotene, Italie

    Premier né d'une grande lignée de scaphandrier, pieds-lourd

    A la fin du XIXe siècle...

     

    DANS LA FORMIDABLE HISTOIRE DE LA CONQUÊTE DU MONDE SOUS-MARIN, L’ÉPOPÉE DES SCAPHANDRIERS TIENT UNE PLACE À PART, AURÉOLÉE DES SOUVENIRS ET DE LA NOSTALGIE QUI NIMBENT UN MÉTIER DE LA MER HORS DU COMMUN ET DANGEREUX. UN DES ACTES DE BRAVOURE DES PIEDS LOURDS A ÉTÉ LA REMISE EN SERVICE DU PORT DE MARSEILLE À LA FIN DE LA DERNIÈRE GUERRE MONDIALE. CHRONIQUE DE LA VIE DE CES HOMMES QUI, DANS L’OBSCURITÉ, ONT RENFLOUÉS OU DÉCOUPÉS AU CHALUMEAU DES DIZAINES DE NAVIRES COULÉS PAR LES B17 AMÉRICAINS OU SABORDÉS PAR LES ARTIFICIERS ALLEMANDS.

     

    A la fin du XIXe siècle, pour fuir la famine ensoleillée de leur Mezzogiorno natal, des centaines de familles italiennes émigrent à Marseille avec mamma, bambini et valises.

     

     

    Dans un bruyant désordre, tous débarquent du ventre noir et fatigué de vapeurs poussives. En quête d’un nouvel espoir, il y a là des maçons, carreleurs, plâtriers, des ouvriers agricoles ou des cuisiniers. Egalement, des pêcheurs et des charpentiers de marine, les maestri d’ascia (maîtres de hache), qui, très vite, vont donner naissance, puis ses lettres de noblesse, à la barquette marseillaise. Bien décidée à prendre une part du "modeste" gâteau, on trouve également une petite corporation : celle des scaphandriers pieds-lourds, les fameux palombari, rompus à l’exécution de tous les travaux immergés possibles, mais aussi à la récolte du corail rouge et des éponges, à l’instar de leurs cousins grecs : les sphoungarades. Le nouveau port de Marseille, sur site dit de la joliette, a alors définitivement supplanté l’ancien, ou « Vieux », Port.

     

    Auteur : Patrick Mouton

    A la fin du XIXe siècle...

     

    DANS LA FORMIDABLE HISTOIRE DE LA CONQUÊTE DU MONDE SOUS-MARIN, L’ÉPOPÉE DES SCAPHANDRIERS TIENT UNE PLACE À PART, AURÉOLÉE DES SOUVENIRS ET DE LA NOSTALGIE QUI NIMBENT UN MÉTIER DE LA MER HORS DU COMMUN ET DANGEREUX. UN DES ACTES DE BRAVOURE DES PIEDS LOURDS A ÉTÉ LA REMISE EN SERVICE DU PORT DE MARSEILLE À LA FIN DE LA DERNIÈRE GUERRE MONDIALE. CHRONIQUE DE LA VIE DE CES HOMMES QUI, DANS L’OBSCURITÉ, ONT RENFLOUÉS OU DÉCOUPÉS AU CHALUMEAU DES DIZAINES DE NAVIRES COULÉS PAR LES B17 AMÉRICAINS OU SABORDÉS PAR LES ARTIFICIERS ALLEMANDS.

     

    A la fin du XIXe siècle, pour fuir la famine ensoleillée de leur Mezzogiorno natal, des centaines de familles italiennes émigrent à Marseille avec mamma, bambini et valises. 

    Dans un bruyant désordre, tous débarquent du ventre noir et fatigué de vapeurs poussives. En quête d’un nouvel espoir, il y a là des maçons, carreleurs, plâtriers, des ouvriers agricoles ou des cuisiniers. Egalement, des pêcheurs et des charpentiers de marine, les maestri d’ascia (maîtres de hache), qui, très vite, vont donner naissance, puis ses lettres de noblesse, à la barquette marseillaise. Bien décidée à prendre une part du "modeste" gâteau, on trouve également une petite corporation : celle des scaphandriers pieds-lourds, les fameux palombari, rompus à l’exécution de tous les travaux immergés possibles, mais aussi à la récolte du corail rouge et des éponges, à l’instar de leurs cousins grecs : les sphoungarades. Le nouveau port de Marseille, sur site dit de la joliette, a alors définitivement supplanté l’ancien, ou « Vieux », Port.

     

    Auteur : Patrick Mouton

    Scaphandrier, Corailleur 

    Celui-ci résidera à la Calle, Agérie Française avant d'immigré à Marseille où il décèdera

    Le 29 Septembre 1913, alors âgé de 59 ans

    Archives N° 01 - Archive N°02

    Mercredi 31 Mai 1882 - N°150 - LE SOLEIL

     

    UN PEU DE TOUT 

     

    Le Génie civil signale à propos du renflouement de la provence, qui à sombré à constantinople, un utile perfectionnement qu'on vient d'apporter aux scaphandres.

     

    Une des glaces du casque est remplacée par une plaque de cuivre dans laquelle est enchâssé un téléphone, de sorte que le scaphandre, plongé sous l'eau, n'a qu'à tourner légèrement la tête pour recevoir des instructions de l'exterieur ou rapporter ce qu'il voit et ce qu'il éprouve.

     

    Autrefois, lorsque les plongeurs visitaient un navire sombré, on été forcé de les ramener hors de l'eau pour qu'ils rendissent compte de leur inspection, et l'on devait leur donner des instructions longues et détaillées qu'il fallait confier à leur mémoire et à leur intelligence.

     

    Aujourd'hui un ingénieur en personne, ou même le capitaine du bord, peut diriger les investigations du scaphandrier ; c'est une véritable conversation qui peut s'établir de la surface au fond de la mer.

     

    Ajoutons que le plongeur, en cas de danger ou d'indisposition, n'avait qu'une cloche ou une corde d'alarme. Avec le téléphone il peut signaler le danger et demander efficacement du secours.

     

    Le scaphandrier ne se contente plus de voir et de travailler au fond de la mer ; désormais, il pourra fournir des renseignements et recevoir des instructions sans remonter au jour.

     1894 - 1972

    Son fils, Pierre Matrone dit “Napoléon” scaphandrier pieds-lourds, travaillera pour les Sociétés Marcellin, Chagnaud, Fontanelli... 

    Riz, coton, charbon, bois tropicaux, épices aux senteurs qui exsudent des sacs de jute parfois troués : les quais sont encombrés des marchandises les plus diverses venues d’Afrique, les Amériques et d’Extrême-Orient. Les dockers ne parlent que d’Annam, de Cochinchine, Sénégal, Guinée, Gabon ou Brésil.

     

    Pour les pieds lourds, il y a de l’ouvrage : ici, bétonnage ou agrandissement d’un quai, là, réparation d’un môle, plus loin, récupération d’une ancre perdue sur le fond, colmatage d’une brèche dans une coque trop malmenée par le mauvais temps, expertise sous-marine sur une structure abîmée, etc...

    Riz, coton, charbon, bois tropicaux, épices aux senteurs qui exsudent des sacs de jute parfois troués : les quais sont encombrés des marchandises les plus diverses venues d’Afrique, les Amériques et d’Extrême-Orient. Les dockers ne parlent que d’Annam, de Cochinchine, Sénégal, Guinée, Gabon ou Brésil.

     

    Pour les pieds lourds, il y a de l’ouvrage : ici, bétonnage ou agrandissement d’un quai, là, réparation d’un môle, plus loin, récupération d’une ancre perdue sur le fond, colmatage d’une brèche dans une coque trop malmenée par le mauvais temps, expertise sous-marine sur une structure abîmée, etc.  

    COLLABORATION AVEC LA POLICE TECHNIQUE 

    POUR LA RECHERCHE ET LA RÉCUPÉRATION D'UN CORPS 

     

    Collaboration avec M. Ciais, sous-chef de la sureté, M. Béroud, directeur du laboratoire de la police technique dans les carrières de Fondacle

    Article du Lundi 20 Janvier 1930 - Le Petit Marseillais

    Article du Lundi 20 Janvier 1930 - Le Petit Provençal

    Collaboration avec M. Ciais, sous-chef de la sureté, M. Béroud, directeur du laboratoire de la police technique dans les carrières de Fondacle

    Article du Lundi 20 Janvier 1930 - Le Petit Marseillais

    Article du Lundi 20 Janvier 1930 - Le Petit Provençal

    LE SAUVETAGE DE LA JASMINE

    (article en cours de rédaction)